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Le Jeaubolais vouneau est arviré

En combine avec un caviste, je me suis procuré du Beaujolais nouveau qui sera en vente demain.

Mon impression : trop cher, avec un goût de poire, de banane, de courge, de patate et de gland de première catégorie.

Néanmoins, il est alcoolisé et à la troisième toubeille j’en ai abrécié la gouleur rouche et la beaudé des édiguèdes pour lesguelles les déniaiseurs, heu daisy-nieurs ont vait pieuvre d’igaminatiok.

Ma copgamne m’a dit : « J’suis t’heureus-e gomme le sront vendirdi tou(te)s les Vrançais.e.s amoureu.ses.x des borduits nadurel.e.s du tirroir.e. »

Ah ça, elle était roubé.e !

Phréo-taste (vin).

COMMENTAIRES  

16/11/2017 22:58 par François

Santé ;o)

17/11/2017 09:11 par J.J.

Voyons Théophraste ! Un peu de tenue, ce n’est pas la première fois que vous étalez dans cette chronique des excès d’ éthylisme qui sont du plus mauvais effet !
Je comprends bien que l’arrivée du beaujolais nouveau est un sujet qui défie l’actualité ; il ne peut être passé sous silence, et mérite que l’on s’implique fortement à le promouvoir, m’enfin !
Figaro lui, au moins, savait se tenir : "Le vin et la paresse se partagent mon cœur."

17/11/2017 11:13 par Fald

Et toujours comme le disait Abel Michéa, chroniqueur à l’Huma, le beaujolais nouveau, il faut en parler en buvant du vin de l’année précédente.

17/11/2017 14:17 par cassiopea

À la tienne Théo, hic !

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