Merci à Théophraste de nous avoir rappelé ce passage de Zadig (et Voltaire sic...).J’y pensais également dans le "contexte" actuel, me rappelant mon livre de lecture de 7° où ce texte figurait en bonne place, et que nous avait commenté notre vieux hussard d’instituteur.
On pourrait faire une anthologie des textes de ce genre de l’antiquité à nos jours, avec Cicéron en bonne place : in Verrem, les Catilinaires etc...
Lequel Cicéron, en bon avocat attaquait, avec véhémence les adversaires de ses petits copains, mais n’hésitait pas à les défendre lorsqu’ils se trouvaient eux mêmes accusés d’avoir grugé autrui.