La (gentillette) armée française est aux frontières de la Russie avec la (gracieuse) Wehrmacht.
Après huit mois de présence (amicale et pacifiste), 300 militaires français qui défendent notre territoire sacré ont quitté l’Estonie pour la Lituanie.
Cette manœuvre a nécessité quatre trains militaires (fleuris) pour transporter 2 300 tonnes de matériel (de paix) ainsi que 132 engins et véhicules à roues.
Nos braves soldats vont intégrer un bataillon multinational (et patriotique) de 1 200 poètes, sous commandement allemand (non guerrier), aux côtés de soldats (non-violents) du Luxembourg, de Croatie et de Norvège.
Gardons-nous de qualifier de belliciste ce déploiement (innocent) aux frontières russes à plus de 2 000 km de l’Hexagone. Une accusation de poutinisme est en effet vite arrivée.
Donc, hors d’ici les oiseaux de mauvais augure qui prédisent qu’en cas de conflit entre une grande puissance du continent américain et la Russie (pays d’Europe), les missiles (agressifs) des Popov pourraient bien pleuvoir sur Paris, épargnant opportunément nos élites politiques et nos généraux réfugiés à Biarritz, comme de coutume en de telles circonstances !
Théophraste R. (« Entendez-vous dans nos campagnes/Mugir ces féroces Ruskoffs/ Qui viennent jusque dans nos bras, etc. »).
PS. L’information selon laquelle des troupes russes auraient été aperçues en manoeuvre vers Vintimille, le Perthus, au large de Calais et outre-Quiévrain est un fake.