Après le Monde, le Figaro, BFMTV, le Parisien, LCI s’inquiète

Cela n’a rien d’étonnant ni d’anormal que ces "médias" se taisent et occultent toute information susceptible de remettre en cause leurs patrons affiliés au CAC en divulguant les pratiques dictatoriales du système policier répressif qu’ils ont mis en place .Ce sont des médias "entreprises" appartenant au système capitaliste , agissant dans le cade imposé par ce système et ouevrant dans les intérêts exclusifs du même système. Ma petite contribution à les combattre réside dans le fait que je les boycotte en les ayant complètement bannis de mes sources d’information et en dénonçant leur mauvaise foi et leur rôle nuisible chaque fois que j’en ai l’occasion et partout ou je passe. A chacun d’apporter sa petite goutte d’eau dans ce combat.

LIBÉRATION : "Des policiers impliqués dans des affaires de violences récompensés par Christophe Castaner

Des policiers impliqués dans plusieurs affaires de violences policières commises dans le contexte du mouvement des gilets jaunes ont été décorés d’une médaille de la sécurité intérieure dans le cadre d’une « promotion exceptionnelle » pour récompenser « des actions revêtant un éclat particulier » , rapporte Mediapart. L’initiative en reviendrait ministre de l’Intérieur lui-même, Christophe Castaner. Ont ainsi été distingués, selon le site d’information :
- le capitaine Bruno Félix, CRS qui commandait le 1er décembre les auteurs des tirs dont un a touché au visage Zineb Redouane, octogénaire morte le lendemain ;
- le commissaire Rabah Souchi, chargé des opérations de maintien de l’ordre au cours desquelles la militante pacifiste Geneviève Legay a été projetée au sol, se blessant sérieusement (photo AFP) ;
- la compagne de celui-ci, Hélène Pedoya, chargée de l’enquête sur ces opérations ;
- ou encore le commandant divisionnaire Dominique Caffin, qui faisait partie des CRS ayant matraqué plusieurs personnes dans un Burger King de Paris le 1er décembre.
- Autre distingué dans cette promotion datée du 16 juin : Grégoire Chassaing, le commissaire qui donnerait l’ordre, cinq jours plus tard, d’utiliser des lacrymos à Nantes sur la foule où se trouvait Steve Maia Caniço, disparu depuis.
Selon Mediapart, la hiérarchie policière voulait prioritairement récompenser des policiers « méritants » blessés, mais faisant chou blanc, elle s’est rabattue sur les « non méritants » puis « ceux qui ont réalisé une action remarquée ». Un choix des mots assez parlant, donc, dans le cas des personnes citées ci-dessus."

"Plusieurs députés de gauche ont repris la question scandée lors des manifestation portant sur la disparition de Steve Caniço à Nantes, lors de la Fête de la musique." Le Huff post : https://www.youtube.com/watch?v=D9BTI0PdufI

A une certaine époque sans internet ,je faisais cette remarque à mon épouse :Drucker de michel je lui trouve une tète de médicament ;je n’étais pas loin ,d’ailleurs celui ci n’a pas manqué de se vanter de creuser le trou de la sécu car" hypocondriaque" mais fanatique du vélo Ceci est vérifiable et véridique.Pour Calvi je n’hésites pas a vous le décrire portant la vareuse gris vert ,parfait petit soldat de la kommandatur ,la chemise est trompeuse mais je m’éloigne du sujet car Steve est taquin et les pompiers ,sauveteurs,policiers sont fatigués,mais fatigués que ce plaisantin ne donne pas de nouvelle et s’il avait porté un gilet jaune il aurait pu être traqué ,hé oui !

Yves Calvi enchaîne alors ainsi : « Vous vous rendez compte de ce que vous êtes en train de nous expliquer ? En gros, vous dites que l’on n’est pas capable de faire régner l’ordre dans un pays démocratique. Nous ne sommes pas au Chili dans les années 70, je suis désolé. »
Voilà comment on peut dire une chose tout en ne la disant pas.
Ainsi procèdent les préparateurs des futures abominations. En attendant ils serinent chaque jour leurs petites complicités mesquines afin de complaire à leurs employeurs et permettre au système de poursuivre sans heurt son petit chemin au quotidien.
Je me demande parfois s’ ils ont conscience de la violence tranquille dont ils font preuve. Peut être s’en rendirent-ils compte, un jour, en retour, quand la violence physique leur tombera justement dessus ?