Où ai-je vu, le ventre serré, cette vidéo où une retraitée avoue que depuis trois jours elle n’a rien d’autre pour dîner que du pain trempé dans du café ? Elle n’osait même pas en parler à ses enfants. La honte était sur elle.
Finalement, avec les Gilets Jaunes et la révélation qu’elle est loin d’être la seule, elle a osé se confier à une caméra. Ses enfants ont su. La honte est sur eux. Mais c’est injuste.
Seule, n’a jamais honte la camarilla de l’Elysée : Macron, Benalla, et cet Ismaël Emelien dont on se félicite, à le voir et à l’entendre, qu’il soit né après l’Inquisition. Ce type là est glaçant. Puant.
Avec eux, sous eux, le gouvernement d’Edouard Philippe au cœur taillé dans la même pierre.
Leur commerce : « Aux affameurs et éborgneurs réunis ».
J’hésite devant la peur de la critique possible de ce que je vais écrire à présent, devant l’accusation de me servir de la misère.
Bah, vivons dangereusement !
Mes amis, si vous m’en croyez, cliquez ici, pour la retraitée affamée, pour tous ceux qui savent ce qu’est une « faim » de mois. Cliquez ici, il pourrait vous en coûter une minute de votre temps et un petit euro, si vous le voulez, mais le monde en sera meilleur et vous dormirez mieux.
Théophraste R. Auteur de l’article (inachevé) intitulé : « Emmanuel Macron, oh tête de con, on vient te chercher, chez toi ! ».