Je ne sais, pas pourquoi, mais le second tour des élections législatives me fait penser à une chanson de Brassens dans laquelle il est question de mégères qui se crêpent le chignon, non loin de Tulle, dans le département du président de la République.
Et puis à une autre où le moustachu ose chanter :
"Misogynie à part, le sage avait raison :
Il y a les emmerdantes, on en trouve à foison,
En foule elles se pressent.
Il y a les emmerdeuses, un peu plus raffinées
Et puis, très nettement au-dessus du panier,
Y a les emmerderesses.
La mienne, à elle seule, sur toutes surenchérit,
Elle relève à la fois des trois catégories,
Véritable prodige
Emmerdante, emmerdeuse, emmerderesse itou,
Elle passe, elle dépasse, elle surpasse tout
Elle m’emmerde, vous dis-je".
La question est évidemment de savoir si, pour Hollande, le succube ainsi dénoncé se prénomme Ségolène, Valérie ou l’autre, là , qui fait la Loi et qui l’empêche de régler l’échauffourée par un bon décret : Marianne.
Théophraste R.
PS. Oui, je sais, mes lectrices férues d’idéologie et de féminisme vont m’accuser de machisme apolitique. Mais, bon, je publierai leur droit de réponse ici même si l’on y décèle en peu de mots : de l’humour, de l’amour et un chouïa de politique.